31.8.12

Application de la stimulation électrique fonctionnelle en présence d'atrophie musculaire

      Les études qui utilisent l'électrostimulation (ES) sont nombreuses et cette technique est utilisée par de nombreuses personnes, de l’usager lambda dopé au télé-achat, désirant un corps digne des dieux de la Grèce antique, aux sportifs soucieux de leur récupération ou encore aux professionnels de santé dans le cadre de programmes de musculation. Cette technique est donc préconisée dans diverses indications et tend à se vulgariser.

18.8.12

Découverte de l’électromyostimulation et ses actions sur le corps humain.


Démarrant cette nouvelle cuvée d’articles sur l’électrostimulation (ES), le GERAR se penche sur l’histoire de l’électromyostimulation avec un article de Dolhem R, paru en 2008 dans les annales de réadaptation et de médecine physique [1]. Il est alors curieux de s’apercevoir que cet agent thérapeutique de lutte contre la douleur, a été découvert très tôt (200 avant JC) via l’emploi de poissons électriques (raja torpedo et autres gymnotus electricus).

8.8.12

Devoirs de vacances...


 L'électrostimulation, les effets placebo rencontrés en rééducation ainsi que les conséquences traumatiques touchant le ligament croisé postérieur (LCP) sont les nouvelles thématiques que se donnent les membres du GERAR.
    Ces nouveaux thèmes sont diversifiés afin d'attirer un maximum d'acteurs de la réhabilitation et/ou professionnels de santé à participer à l'émancipation de notre collectif.

1.8.12

Quelle sclérose en plaques pour quelle rééducation ?

Afin de conclure ce cycle autour des thèmes de la marche, la sédentarité et de l’équilibre, ce dernier article [1] a été sélectionné car il exploite tous nos champs de recherche actuelle. D’autant plus, que son hypothèse est directement liée à la rééducation/réhabilitation. La sclérose en plaques (SEP) est une affection du système nerveux central qui touche les capacités locomotrices. La SEP possède une grande variété d’évolutivité et de poussées observées. L’efficacité de la rééducation est évaluée au par des d’échelles de qualité de vie et les neurologues utilisent l’échelle de Kurtzke (ou EDSS : « expanded disability status scale »). Peu d'études font appel à une évaluation quantifiée. Le but de cette étude est de mesurer les effets de la rééducation sur les capacités d'équilibre, de marche, de force musculaire et d'indépendance fonctionnelle à partir de paramètres représentatifs et validés.

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